Le sombre con de la veille

Mon copain Politeeks parle de'"sombre merde" pour qualifier celui qui a balancé ce tweet. J'opte pour le "sombre con"
Voici donc ce qu'a balancé le sombre con de merde, hier, 22 juillet, 16h43.
Paraît que les cons, ça ose tout.

Je crois que c'est clair.

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30 commentaires

  1. Je lui ai décerné hier le titre de con du jour. Alors que d'ordinaire la colère est lente à venir, ce sombre connard m'a fait partir dans les tours tout de suite. Sans doute un effet de lassitude pour ce média dans lequel sous couvert d'un relatif anonymat certains croient qu'il est possible d'écrire tout et n'importe quoi.
    Parce qu'il n'y a que 140 caractères, rien n'est grave ?
    Je ne crois pas.

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    1. Oui. C'est ça. Bien planqués derrière leur écran, certains se permettent tout et n'importe quoi.

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  2. Ce type est effectivement une grosse fiente.

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  3. Sans commentaire.
    Le con du jour, de la semaine, de l'année, du siècle. Tout ça à la fois.

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    1. Je suis pas allée vérifier mais j'imagine qu'il a été assez lâche pour effacer son tweet depuis non? Ou je le surestime là.

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    2. Aucune idée. Je me suis perdue 2 secondes dans sa TL et puis j'ai démissionné.

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  4. Bof ! Souhaiter la mort d'un adversaire, voilĂ  qui s'est toujours fait, et pas seulement par des "tweeters". Relisez la presse du dĂ©but du siècle (l'autre, le vrai…) et vous verrez. Pas de quoi fouetter un chat.

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    1. "Un adversaire"? Non mais que prĂ´ne Jean-Luc Romero qui puisse susciter ce genre de tweets?
      Et puis ce n'est pas parce qu'on se lâchait dans la presse jadis qu'on est obligé de garder ce genre d'habitudes hein.

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    2. Je n'en sais rien ! Romero n'est pas mon adversaire à moi ! Mais apparemment c'est le sien. Et je trouve qu'il a parfaitement le droit de souhaiter sa mort si ça lui chante. C'est un peu idiot, dans la mesure où souhaiter la mort de quelqu'un est toujours plus ou moins avouer qu'on n'est pas capable de le combattre, mais enfin ça le regarde. Je voulais juste dire que vos indignations à tous sentaient le surjoué, le théâtre de province, la "tournée Baret".

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    3. Ah mais j'ai pas dit que JL Roméro était votre adversaire hein.
      Moi j'aime bien Jean-Luc Roméro, ses positions, ses engagements. Donc, je ne surjoue pas. D'ailleurs, si j'avais surjoué, j'aurais pondu un billet de 50 lignes.

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    4. À dire vrai, je sais à peine qui c'est. Enfin, disons que, dans la famille pédé je préfère largement R. Camus.

      Sinon, ne confondez pas le surjeu et la logorrhée.

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    5. Je ne confonds pas. Par contre, je pense que les deux vont souvent ensemble.

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    6. Ah ça, il est sûr que l'un n'empêche pas l'autre !

      Bon, je déconnecte : il faut que j'aille regarder Kill Bill 2. (Et je vous laisse méditer, à ce propos, sur les ravages de la sénescence en milieu réactionnaire.)

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    7. Un réac qui regarde Tarantino, ça se tient.

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    8. Ça ne doit pas se tenir tant que ça, vu que je tiens Tarantino pour l'un des cinéastes les plus surévalués de ces trente dernières années. En réalité, je le tiens même pour une baudruche, mais il se trouve que, ce soir, c'est vraiment le désert télévisuel : on se croirait dans un discours de Hollande.

      D'autre part, je vous signale que Télérama raffole de Tarantino, alors qu'il ne s'agit pas, à proprement parler, d'un magazine de droite (juste d'un torchon pour incultes à prétentions).

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    9. Certes mais Tarantino "à la ville" comme on dit, passe pour être très conservateur, limite réac.

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  5. "Pas de quoi fouetter un chat" !
    Ben on voit que vous vous y connaissez vous, vous parlez le "con" couramment mon vieux, c'est pour ça que ça ne vous choque pas !
    Z'êtes pathétique ! Allez mauvais dimanche ; De l'invisible JBL1960

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    1. Voilà ce qui s'appelle répondre à côté, et même ne pas répondre du tout. Mais vous avez raison : l'invective sans cause semble davantage à votre portée.

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    2. Non mais attendez Didier Goux: a-t-on le droit d'être un peu choqué devant ce genre de propos ou pas?

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    3. Mais vous avez tous les droits, combien de fois faudra-t-il que je le répète ? Ce sont les progressistes qui parlent sans cesse de "dérapages", de "propos nauséabonds", etc. Moi, comme la plupart des "réacs", je laisse chacun libre de ses propos et réactions.

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    4. Par exemple, plus haut, je me suis contenté de dire que je ne voyais pas le mal dans ce tweet que vous citez, mais sans dire un mot à propos de vous et de vos petits camarades qui le traînez dans la boue.

      Eh bien, mĂŞme ça c'Ă©tait trop, apparemment, puisque l'autre petite fiente de JBL (mĂŞme pas foutu d'avoir un nom, c'est brillant…) m'est aussitĂ´t tombĂ© sur le poil (enfin, il a cru me tomber sur le poil…).

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    5. Ah OK. Donc, nous sommes tous super libres de dire ce qu'on veut, nous sommes d'accord. Lui est libre de dire qu'il regrette que Jean-Luc Romero n'ait pas été dans le train, et moi de dire qu'il est un sombre con.
      A la bonne heure!

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    6. Ben oui.

      Avec ce différence que, en notre réjouissante époque, il pourrait tout de même porter plainte contre vous pour insulte, alors que Romero ne pourrait rien contre lui puisque souhaiter la mort de quelqu'un ne tombe pas (encore) sous le coup de la loi.

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  6. Invective ? Z'ĂŞtes susceptible en plus !
    Et ben, vous ĂŞtes grave M. Didier Goux...
    JBL1960

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    1. Le fait de parler d'invective ne signifie nullement que j'y sois sensible. Et, de fait…

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    2. En mĂŞme temps, "parler le con couramment" c'est plutĂ´t un avantage dans certains cas, non?

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  7. Ce qu'il y a de bien avec les "cons" c'est que ça donne l'occasion d'en parler ! Je me demande si ce n'est pas le but qu'il recherchait. Attention un "con" peut en cacher un autre!

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    1. C'est ça. Sauf que je crois qu'un con est souvent un arbre qui cache une forêt de cons.

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