Ta mission si tu l'acceptes : endosser le costume et les talonnettes d'un président en campagne. Différents tableaux t'attendent:
- plusieurs grandes villes de France,
- des plateaux de télévision,
- mais aussi l’ÉlysĂ©e. Car tu es Ă la fois prĂ©sident et candidat.
Mais plusieurs obstacles jalonneront ton parcours. Et fais bien attention car tes ennemis sont polymorphes.
Les musulmans d'apparence
Tu devras faire attention aux musulmans d'apparence. Ils arrivent souvent par vagues.
Pour vérifier, il faudra te servir de ta loupe qui se trouve dans ton inventaire, accessible par un double clic à l'extrême droite de ta souris tout en maintenant enfoncée la touche "Fn".
Les syndycos
Tu devras te méfier des syndycos. Ce sont de petites créatures qui évoluent toujours en groupe. Elles peuvent surgir de nulle part mais fais attention : un syndycos peut en cacher des dizaines d'autres.
Pour combattre les syndycos, tu trouveras également dans ton inventaire des CRS, des gaz lacrymogènes et des matraques.
Pour les actionner, appuie sur la mĂŞme touche"Fn" et effectue un moulinet avec ta souris, toujours vers la droite.
Mais ce ne sont pas tes seuls ennemis.
Les couillons
Tu devras aussi affronter affronter des couillons. Les couillons, ce sont des créatures qui se déplacent avec un gros chargement sur leur dos : caméras, micros, dictaphones, appareils-photo... Tu ne pourras pas les louper, il se déplacent en groupe et les flashes de leurs appareils crépitent et font du bruit.
Les gauchos
Tu devras aussi combattre les gauchos. Mais prudence, ils sont encore plus nombreux que les syndycos. Ils évoluent aux quatre coins du pays. Ils sont très optimistes, et ça t'agace prodigieusement. Tu devras, pour les combattre, atteindre le dernier tableau. Celui qui s'appelle "6 mai 2012". C'est très difficile car tu es donné perdant d'avance. Pour y parvenir, il faudra que tu appuies sans cesse sur la touche "Fn", tout en sautant en l'air, en faisant des pas chassés et en activant les dialogues pour parler le plus possible.
Pour riposter contre tous tes ennemis quels qu'ils soient
Tu pourras activer les insultes qui se trouvent Ă©galement dans ton inventaire.
Trois te sont proposées. De la plus violente à la plus faible.
Pauv'con, couillon et nul. Mais attention : tu ne dois pas en abuser, au risque de te faire de nouveaux ennemis.
Rassure-toi, tu n'as pas que des ennemis. Tu as aussi des allié-e-s.
Le clan Bettencourt
Impossible de savoir réellement combien ils sont. Mais comme ils sont très riches, ils peuvent te donner un peu d'argent pour financer ta campagne par exemple, ou pour t'acheter de nouvelles armes de campagne.
Tes hommes de main
Ils s'appellent Jean-François Copé, Henri Guaino et Claude Guéant. Ils te suivent partout. Fais donc bien attention quand tu agites tes bras, tes pieds et tes gaz lacrymogènes, de ne pas leur mettre un coup au passage. Tu perdrais des points.
Claude Guéant te sera très utile aussi pour détecter les musulmans d'apparence.
Quant Ă Henri Guaino, si tu le titilles un peu, il pourra sans doute de procurer de nouvelles insultes Ă utiliser contre tes ennemis.
Jean-François Copé, lui, pourra te faire entrer en contact avec d'autres personnages puissants qui pourraient t'être très utiles.
Mais attention, si tu fais appel à Jean-François Copé ou au clan Bettencourt, tu dois être sûr de venir à bout du 6e tableau. Car sinon, si tu perds, tu ne pourras plus jamais rejouer.
Tes alliés notoires
Ils sont nombreux mais pas souvent futés. Gérard, Christian, Véronique, Enrico, Jean ou encore Mickaël. Fais particulièrement attention au dernier, c'est un boulet. Et comme tes 3 hommes de main, ils te suivent partout. Tu pourras aussi activer le Gérard pour bousculer les autres car il est fort, grand et gros.
Ton parcours
Il est semé d'embuches tu l'auras compris.
Mais certains objets, si tu les attrapes, peuvent de faire gagner des points : des rolex (pour ta collec), des talonnettes (pour ĂŞtre un peu plus grand) ou encore des matraques (pour que tu puisses avoir Ă ta disposition un peu plus de CRS).
Mais tu le découvriras par toi-même.
Allez, on ne va pas tout te dire
car sinon ce serait trop facile...
2 commentaires
Very bon ;)
RépondreSupprimerJe te laisse imaginer qui m'a inspirée ;-)
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